Rêves décrépits

par Thierry H. le 26 juin 2012

Selon ses dires, Theo Prins passe l’essentiel de son temps à dessiner des cités déclinantes et désorganisées, des marchés surpeuplés et des « choses qui volent ». Poétiques, les œuvres du graphiste américain sont baignées de tons pastels évoquent des univers à la Blade Runner… À découvrir sur son site ou son compte Tumblr.

Le graphiste américain affectionne les villes décrépites aux cieux surpeuplés.